Messieurs, allez vous faire foutre avec vos belles phrases vides,
Vos promesses gratuites et vos larges sourires plastiques.
Sous des airs gentlemen se cachent des adolescents attardés
N'ayant pas le sens des responsabilités.
Vous n'en avez rien à cirer,
Seul compte votre engin à bander.
L'amas de coeurs brisés,
Forme un tapis dans votre 3 pièces bien carré.
Votre belle gueule de menteur raté
Se reflète chaque matin dans le miroir déformé.
Il serait temps de faire prendre l'air
Il serait temps de faire prendre l'air
A vos couilles molles qui trainent par terre.
Allez retrouver votre petite femme désespérée
Qui attend patiemment dans sa cuisine agencée
Et repasse sagement vos chemises aux petits carrés
Qui sont aussi petits que votre esprit limité.
Peur de vivre, de souffrir, d'être vrai et d'aimer.
Il est plus facile de fuir dans sa petite vie ajustée.
Faire semblant faisant face à la peur
En sachant que le bonheur se trouve ailleurs.
Caresses, belles promesses, chocolats amers,
sourires chers, champagne aux bulles égarées,
Il ne reste que des souvenirs figés, des plaies béantes,
Des nuits noires et froides sans étoiles.
Ces Messieurs, je vous souhaite le bonsoir.
Car vous nous faites sincèrement chier.
Car vous nous faites sincèrement chier.
Veuillez trimbaler vos couilles ramollies
Dans le futur dans d'autres lits.
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Les Messieurs concernés,
Sauront peut être ici se retrouver.